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 JAMES NILSSON - Mister tambourine man

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James Nilsson
I ♥ KEIRA KNIGHTLEY
James Nilsson


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JAMES NILSSON - Mister tambourine man Empty
MessageSujet: JAMES NILSSON - Mister tambourine man   JAMES NILSSON - Mister tambourine man EmptyJeu 15 Déc - 22:11

JAMES NILSSON - Mister tambourine man Tumblr_lw2eiupR7F1qblvv1o3_500

(c) tumblr

    KILLING LIES.
    NOM, PRÉNOM(S) : James-Charlie Nilsson/Haussman
    SURNOM(S) : On l'appelle James - rien d'autre.
    DATE DE NAISSANCE ET ÂGE : Né le 1er janvier (c'était de circonstance!) 1990, 22 ans.
    PROFESSION : Pianiste. Malgré son enfance rendue chaotique par les milliers de consultations chez différents médecins, le jeune homme se prit de passion pour une seule chose - et le plus ironique fut que cette chose soit amenée par ses parents. Les cours de piano, donc, qu'il commença très jeune, révélèrent un don indéniable. Il enchaîna ensuite les concours, puis les concerts. Il est assez reconnu dans le monde de la musique classique, et s'autorise parfois des répertoires moins conventionnels.
    GROUPE : I don't know, you erased me - les Effacés.
    NATIONALITE : Anglo-suédoise.

    WISHFUL SINFUL.



    « Take me for a trip upon your magic swirling ship, all my senses have been stripped, my hands can't feel to grip, my toes too numb to step, wait only for my bootheels to be wandering! »

    Mister Tambourine Man, alias l'homme-orchestre, parce qu'il porte sur lui tous les instruments possibles, et qu'il sait jouer n'importe quel répertoire de tous ces instruments différents sans faille. C'est la parfaite métaphore de la personnalité de James.

    Whatever that they told you about me, well all of it’s true. Hé bien oui. James est ça, ça, ça, et tout ça à la fois. Quelle est donc la réaction naturelle à un manque - et non pas une perte, puisqu'il n'en a jamais eu - total de repère semblable? Let's go get lost, I wanna go get lost. Débauche la plus totale, de fêtes en fêtes, de boîtes en boîtes, perdre son corps en l'imbibant et en le perdant dans des danses débiles donnant l'air d'un possédé du samedi soir. Get absolutely lost. Filer son corps aux aléas du lâcher prise, quelle que soit la forme que prenne le lâcher prise.
    Forcément, ça fait un peu mal autour de soi.
    Forcément, quand on emprunte cette solution au lieu de se battre pour se définir des repères de substitution, il n'y a aucun moyen de s'attacher à qui que ce soit, et on fait rarement le bien.
    AAAAAH NON! Vous ne suivez pas. Vous avez cru aveuglément ma dernière phrase. Alors que je viens de vous dire que l'olibrius est presque tout et son contraire. Parce que si James peut être un vrai connard sans forcément s'en rendre compte, il peut également être une crème absolue. Tout ça dépendra de l'heure qu'il est, du temps qu'il fait, du jour qu'on est...Enfin, on verra, quoi. Il arrive occasionnellement qu'il ai des liens logiques et donc pas éphémères avec certains personnes. On pourrait le dire égoïste, mais c'est carrément qu'il n'a pas vraiment conscience des autres. Pourtant il adore interagir avec, généralement.
    Au fond bien sûr qu'il aimerait avoir des repères, d'ailleurs il s'en fabrique des artificiels, parfois éphémères, parfois non. Ce n'est pas un mauvais bougre, au contraire, c'est juste un petit garçon perdu. Il ne fait finalement que se chercher, par tous les moyens.
    Et l'opération n'a rien arrangé. En se réveillant sur la place, il avait perdu tout souvenir d'où il venait, de qui il était le fils, d'où il avait grandi et de qui l'avait élevé. Rendu encore plus vide, encore plus amputé de repères, l'opération est finalement ce qui va pousser le jeune homme à se mettre à se chercher activement lui même.

    TELL ALL THE PEOPLE.

    - POUR LES EFFACÉS ET LES PROCHES -

    La situation est un peu compliquée pour James - à croire qu'il n'y a rien qui ne soit pas compliqué chez ce garçon.
    Puisqu'évidemment, il n'est pas vraiment un effacé, il est un patient involontaire. Peut être, s'il croisait ses parents, les choses seraient différentes. Il s'avère cependant que si les Nilsson ont effacé James de la mémoire de Tom, ils ont bêtement oublié - sans doute est-ce le père Nilsson qui s'est chargé de toute cette histoire d'effacement, et étant donné qu'il s'agit d'un misogyne notoire... - de l'effacer de celle de Lili. Qu'arrivera-t-il si elle retrouve James et qu'elle parvient à joindre les deux bouts? Qu'elle joue le pont sur la rivière qui va d'un camp à l'autre? On verra. On espère.

    WHERE NOBODY KNOWS.
    PRÉNOM ET PSEUDO : Appo.
    OU AVEZ VOUS CONNU LE FORUM ? Dans la tête de Mariko, d'Antoine, et finalement dans la mienne.
    AVATAR : Jamie Dornan.
    UN MOT A DIRE ? SWELL.


Dernière édition par James Nilsson le Lun 27 Fév - 22:12, édité 4 fois
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MessageSujet: Re: JAMES NILSSON - Mister tambourine man   JAMES NILSSON - Mister tambourine man EmptyJeu 23 Fév - 14:28

BLUE VALENTINES.



« The seed are planted here, but they won't grow. »

    Les tissus onéreux s’emmêlent dans une frénésie de champagne que l’on arrête plus. Les rires s’esquissent d’abord timides, puis, déliés par l’alcool, montent dans les aigus assez rapidement. Certains commencent à danser, plus ou moins bien – qu’importe. Des dents trop blanches illuminent une hypocrisie que notre protagoniste serait plus tard amené à détester profondément. Nous sommes dans un véritable démarrage de roman à l’eau de rose, de série B, de très mauvais film romantique.

    Bienvenue chez les Nilsson, un soir de fête.

    Ce n’est même pas le soir d’une fête quelconque : dans quelques minutes, les horloges de toute la Suède s’accorderont à dire qu’on est passés dans les années quatre vingt dix. La vaste demeure parfois vide malgré les neufs individus qui l’habitent est ce soir remplie à en vomir de toute la haute société scandinave. Le père Nilsson pavane, certains des sept de ses enfants, ceux assez âgés pour ne pas encore dormir, font les chiens savants. Ca pue le fric, les dorures, l’argent qui saute de poche en poche. Pour filer la métaphore on pourrait faire l’hypothèse que c’est le boucan de ces machines à sous à forme humaine qui empêche d’entendre les cris de l’épouse Nilsson – Jane Haussman.
    Non pas qu’elle agonise – rassurez vous, je ne vous impose pas non plus un mauvais polar à deux sous acheté sur un vieux quai de gare ou chez un bouquiniste désuet – ou qu’elle s’évertue à corriger un domestique recalcitrant, non, il lui arrive quelque chose d’absolument naturel, et d’absolument douloureux du fait même de son naturel, complètement déplacé dans un environnement semblable.
    Bon, et puis si on veut arrêter de se jouer de mots, il faut aussi avouer que le petit qui s’apprête à poindre est assez difficile pour refuser de s’offrir une naissance aisée.
    Il va bientôt être minuit, tous les individus alentours sont absolument saouls ou âgés de moins de dix ans. Il faut un certain temps à Lady Nilsson pour se rendre compte que les domestiques sont eux aussi des individus, qui plus est des individus ayant dépassé la dizaine depuis un certain temps – ne l’ayant cependant pas passé de manière assez chanceuse pour pouvoir se permettre de s’enivrer bien au delà du ‘plus soif’ un soir de Saint Sylvestre.
    Sans doute frissonne-t-elle, cette aristocrate qui n’a jamais utilisé ses mains autrement que pour prendre la pose, quand elle approche la maison du service. Peut être préférerait-elle faire une fausse couche.

    Quelques heures plus tard, le carillon passé, Jane Haussman-Nilsson ayant clairement perdu son apparence de princesse à minuit, installée en salle de travail, James-Charlie Nilsson-Haussman, notre protagoniste, voit le jour entre une sage femme dont c’est le premier accouchement, Lili, et un domestique, Tom, dont c’était la première nuit au service de la famille.




« Everybody knows umbrellas will cost more in the rain, all the news is bad, and everybody's talking at the same time. »

    « Tom ?
    -Mon petit loup des bois frisé au gruyère râpé ?
    -Tu crois que ça va chauffer dans les chaumières si je change mon nom pour le tien ?
    -Echanger Nilsson contre Ashley ? Tu veux pas échanger la demeure de tes parents pour vivre dans un trou de raton laveur aussi ?
    -Un raton laveur, c’est plus grand qu’une souris.
    -Mange ce que tu as dans ton assiette sinon je t’enfonce la tête dedans.
    -C’est les parents qui feraient la gueule.
    -Lili aussi, je te rappelle que c’est elle qui passe derrière toi pour nettoyer tes tentatives vaseuses de rébellion.
    -Balivernes : Lili m’a toujours précédé. Du vagin de ma mère aux jeux d’intelligence.
    -J’allais te féliciter d’employer un vocabulaire aussi évolué pour ton âge, puis t’engueuler pour parler en termes aussi crus de l’anatomie de Lady Jane Nilsson, mais tu as fini par me perdre avec tes discours tarabiscotés.
    -C’est de ta faute, la tarabiscote.
    -Voilà, enfin une phrase qui a sa place dans la bouche d’un typuscule de sept ans.
    -Typuscule ?
    -La tête à plat dans l’assiette, le nez plein de purée, James Nilsson. »
    James ne répond pas puisqu’il ne voit pas bien à quoi ça sert, de faire tourner la discussion en rond. Il avale sa purée, l'air peu convaincu. La porte s'ouvre dans un fracas trop habituel pour qu'on s'en inquiète. Lili Strömblad, ravissante dans son costume anachronique de domestique du XIXème, offre son plus joli sourire aux deux hommes de sa vie.
    « Vous étiez encore en train de vous raconter des absurdités.
    - Oui. Mea culpa: on t'attendra la prochaine fois. » Répond Tom, l'air faussement penaud, et ses lèvres déjà sur le cou de la jeune femme. Elle sourit sans rien dire. L'accent américain de son amant disparaît peu à peu dans le suédois de la même manière que l'accent anglais de Jane Haussman avait dû laisser place au scandinave, et à la même vitesse que son ventre s'arrondit sous son tablier de soubrette. James observe d'un oeil qui fait semblant d'avoir déjà tout vu.

    Et puis BIM, BAM, BOUM!!! - c'est une manière comme une autre de faire une grosse ellipse où se passent tout un tas de trucs vraiment peu chouettes. Les deux petites soeurs faites à James n'ayant en rien radouci les parents Nilsson, ils devinrent absolument tyrannique, cherchant à faire de leur portée de parfaits futurs aristocrates, et une vitrine irréprochable devant leurs amis et collaborateurs "de la haute". Ce fut évidemment le moment où l'existence de James commença à poser problème. Bien trop attaché à Tom et Lili parce que pratiquement élevé par eux, il n'avait rien du vrai petit aristocrate à l'accent grandiloquent et au petit doigt levé. D'abord peu contestataire et exécutant les ordres parentaux comme un bon petit poney, il fini par lentement refuser les conventions de ce monde, une par une - et quand je parle de convention, je ne parle pas d'étiquette d'un monde social précis, je parle des choses du Monde en général. Il rejeta ses parents et leur stupide balai dans le derrière certes, mais aussi, petit à petit, ses petites soeurs. Puis Tom, puis Lili, puis lui même. Puisqu'il ne savait plus la différence entre les règles de l'aristocratie, celles que lui avait enseigné ses véritables parents - bien que de substitution - Tom et Lili, celles du Monde, elles cessèrent toutes d'exister pour lui. Plus rien n'eut aucun sens, à part l'abandon général. ABANDON SHIP AND LET'S PRONE ANARCHY, en gros.

    Le vrai problème, c'est qu'il ne s'agissait que d'un enfant. Que d'une toute petite carcasse émouvante de vulnérabilité, prête à se remplir de savoir, de choses belles, d'informations en pagaille, et d'en faire une ligne directrice qui, a défaut de le définir, lui permet instinctivement de s'emmener là où il ne sait pas qu'il va. A cet enfant à qui il fallait donner une définition de départ, on a donné un condensé de règles contradictoires, de mondes différents absolument rivaux auxquels, parce qu'il aimait leurs représentant, il voulait absolument appartenir. Voilà un enfant qui a voulu savoir trop jeune parce qu'on l'y pressait et qu'il ne voulait décevoir aucun des siens, qui a voulu foncer et correspondre à tout. Qu'on a poussé à choisir un camp là où il n'y avait pas de bataille.
    Ce n'est qu'une réaction absolument naturelle, après avoir dès la naissance du choisir entre les deux groupes de gens les plus important pour soi, de refuser de se déchirer en deux pour être équitable et de du coup rejeter absolument tout en bloc, et avec violence, et sans pitié aucune.




« Whatever that they told you about me, well all of it’s true. »

    On fit faire à James, qui n'avait encore que dix ans, le tour des médecins. De tous les trucs en psy: psychiatres, psychologues, psychanalyste. Il s'agissait toujours de la même supplique: docteur, je vous en supplie, notre fils a littéralement pété un plomb, il n'a aucun repère, on a l'impression qu'il contient pleins de personnes en lui, pensez vous qu'il s'agit de la schizophrénie, doit-on l'interner, lui faire des électrochocs, le gaver de valium, le cacher en grenier en camisole?
    Et toujours cette même réponse, inlassable, inacceptable pour des parents ou des substituts de parents: non, ce n'est pas de la schizophrénie. Votre fils n'est pas fou, il n'a pas plusieurs personnalités, il ne fera jamais de mal à personne, pas plus que n'importe quel connard. Il est juste lunatique à l'extrême. C'est préoccupant, c'est du jamais vu, mais il est psychologiquement apte. Absolument instable, plus girouette qu'humain, mais apte. La seule chose que je peux faire, c'est lui donner un traitement contre l'hyperactivité, mais ça ne changera pas grand chose.
    Tous les médecins suédois épuisés, Jane Haussman insista pour qu'on essaye tous les anglais. Mêmes constats navrants pour ces parents à la réputation immaculée. Pour tout vous dire, le dernier médecin où on envoya James fut un psychanalyste londonien, docteur Craig. James avait quinze ans. La séance ressembla plus ou moins à cela:

    JAMES : (assis sur le divan, l'air champêtre, mains croisées entre les jambes) Héééé oui, trop d'informations, qu'est-ce que vous voulez, grumphée, je ne sais plus à quel sein me vouer, docteur, celui de ma mère ou celui de ma nourrice? C'est un joli noeud papillon que vous avez là. Si vous me le filez je fais semblant que vous m'avez tout guéri.

    Pause. Craig fixe James, totalement pris au dépourvu - et ça ne risque pas de s'améliorer.

    JAMES: (tout d'un coup sincèrement paniqué et profondément en détresse) Docteur, je ne sais pas quoi faire. Je ne sais pas qui suivre, quoi penser. Je ne sais pas qui je suis ni qui je dois être, et je ne sais même pas vraiment laquelle de ces deux questions je dois vraiment me poser. Pause. L'air jovial, absolument naturel et sincère que certains personnages de Beckett empruntent parfois tout d'un coup apparaît sur le visage du jeune homme. Bon allez, je file. Coucou!




« You're the same kind of bad as me. »

    • Quel est le nom complet de la personne que vous souhaitez effacer ?
    James-Charlie Nilsson/Haussman.
    • Pour quelle(s) raison(s) cela vous semble-t-il nécessaire ?
    Tout d'abord, permettez nous de préciser que nous ne souhaitons pas l'effacer de notre mémoire mais nous effacer de la sienne. Nous avons obtenu une dérogation grâce à des accords spéciaux avec le docteur Burton.
    Comprenez nous bien, nous avons une réputation à tenir, et cet espèce d'électron libre a les capacités de détruire la totalité de notre empire, que nos ancêtres ont mis des années à construire et que nous nous efforçons de maintenir depuis tant de temps. Non, bien sûr, vous ne pouvez pas comprendre, l'aristocratie a la vie simple dans vos convictions étriquées. Bref, vous n'êtes qu'un employé, on ne vous demande pas votre avis, effacez nous de l'esprit de cet énergumène. Oh, et si vous pouviez au passage l'effacer de la mémoire de Tom Ashley, nous vous en serions grée.


    Oh, ils furent pire que déchirants, les cris de Tom, quand les Nilsson le firent entrer de force dans les locaux d'Oblivion. On lui aurait envoyé un tueur à gages qu'il aurait été moins réticent. James, lui, fut embarqué et opéré dans son sommeil, puis gentiment déposé sur une plage de Brighton, avec rien d'autre que ses vêtements sur lui. Les Nilsson repartirent pour la Suède la tête haute, n'ayant plus de petit dernier pour leur cracher dessus, sur eux et leur méprisables attitudes de gens bourrés de fric qui par cela se croient supérieurs à tous les autres.

    Lâcher prise.

    You’re the head on the spear
    You’re the nail on the cross
    You’re the fly in my beer
    You’re the key that got lost
    You’re the letter from Jesus on the bathroom wall
    You’re mother superior in only a bra
    You’re the same kind of bad as me
    I’m the hat on the bed
    I’m the coffee instead
    The fish or cut bait
    I’m the detective up late
    I’m the blood on the floor
    The thunder and the roar
    The boat that won’t sink
    I just won’t sleep a wink
    You’re the same kind of bad as me

    No good you say?
    Well that’s good enough for me.
    You're the same kind of bad as me.


Dernière édition par James Nilsson le Lun 27 Fév - 22:03, édité 14 fois
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Marianne Baker
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MessageSujet: Re: JAMES NILSSON - Mister tambourine man   JAMES NILSSON - Mister tambourine man EmptyJeu 23 Fév - 15:37

Tom Waits partout, nice !
Au boulot Appo JAMES NILSSON - Mister tambourine man 2922479706
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MessageSujet: Re: JAMES NILSSON - Mister tambourine man   JAMES NILSSON - Mister tambourine man EmptyVen 24 Fév - 21:59

C'est moi ou tu peux parler? JAMES NILSSON - Mister tambourine man 583421416
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MessageSujet: Re: JAMES NILSSON - Mister tambourine man   JAMES NILSSON - Mister tambourine man EmptyMar 28 Fév - 18:36

Ta fiche est vraiment vraiment cool ! Sincèrement, c'est très chouette.
JAMES NILSSON - Mister tambourine man 4064327615
(Maintenant j'ai encore moins le courage de me mettre à la mienne qui sera ridicule, merci !)
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Roman Langlois
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MessageSujet: Re: JAMES NILSSON - Mister tambourine man   JAMES NILSSON - Mister tambourine man EmptyMar 28 Fév - 18:44

Oh merci! C'est pas incompréhensible alors? Fine, fine, fine. Je verrouille.

Et arrête donc tes conneries, elle va être très bien aussi, ta fiche.
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MessageSujet: Re: JAMES NILSSON - Mister tambourine man   JAMES NILSSON - Mister tambourine man Empty

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